
Avec les filles ses sacs ont un succès fou et Jérôme Dreyfuss sait rester à leur écoute. Ce qui lui a donné l’envie de créer une ligne capsule de vestes en cuir et reptile fidèles aux détails et codes qui ont fait de ses sacs des accessoires adorables.
Plus qu’attendues par sa clientèle, elles seront disponibles dans les boutiques exclusives Jérôme Dreyfuss à l’aube de 2010.
C’est très jeune que Jérôme Dreyfuss se fait remarquer dans la mode : en 1998, lorsqu’il révèle sa première collection de Couture à Porter, il n’a que 23 ans. L’audace, l’élégance décalée et l’humour qui le caractérisent sont d’entrée au rendez-vous et vont faire de lui “l’enfant terrible de la mode française”, tel qu’encensé par la presse.

Jusqu’en 2002, l’imagination de Jérôme Dreyfuss ne cesse de foisonner au service du vêtement et ses créations rencontrent le succès au-delà de l’Hexagone : le King of Pop, Michael Jackson, fait appel à lui pour assurer le stylisme de la promo mondiale de son album. Il ne sera pas seul, parmi de grands noms de l’entertainment, à solliciter la fougue créatrice de Jérôme.
En 2002, après 4 ans d’effervescence, Jérôme Dreyfuss souhaite s’engager dans une nouvelle relation créative, cette fois-ci avec les accessoires !
Il donne vie à une ligne de sacs baptisée Roots de luxe et impose, au fil des saisons, le sac mou, en peaux de reptiles ou cuirs souples, caractérisé par de généreux volumes et des détails exclusifs autant qu’astucieux. De nouveaux incontournables façonnés par des artisans privilégiés pour la qualité de leur savoir faire.

Jérôme et le succès font à nouveau route commune, le créateur démontrant une nouvelle fois la connivence passionnée qu’il entretient avec les femmes. Ses sacs deviennent de véritables compagnons de vie, fidèles, qu’il humanise en les baptisant de sympathiques et intemporels prénoms d’hommes.
La vision ingénieuse du créateur donne vie à des accessoires aussi beaux que pratiques. La subtilité des couleurs et l’extrême douceur des matières les imposent tels des partenaires nécessaires à la femme moderne et urbaine. Il devient impensable de se séparer de son Robert ; et comment ne pas craquer pour Billy ? Quant à Momo, il nous rend toutes folles…

En 2006, Jérôme Dreyfuss se différencie une nouvelle fois avec le label Agricouture, le symbole affirmé de sa prise de position en faveur d’une création respectueuse de l’environnement : de l’élevage des bêtes jusqu’à la finition de ses sacs, Jérôme Dreyfuss s’engage pour une nature préservée et des conditions de confection saines.
Ses collections sont commercialisées dans plus de 200 points de vente prestigieux, en France comme dans de nombreuses places internationales majeures : Barneys, Fred Segal aux États-Unis, Lane Crawford à Hong Kong, Via Bus Stop à Tokyo, sans oublier les Printemps et Bon Marché à Paris…
En mars 2008, c’est l’événement à Paris : Jérôme Dreyfuss ouvre sa première boutique exclusive au cœur de Saint-Germain-des-Prés, quartier aux multiples inspirations, imprégné des esthétiques architecturales de Jean Prouvé et Charlotte Périan, du design d’Isamu Noguchi, où la galerie Laffanour régale les regards…
Au 1 rue Jacob, l’enseigne du créateur rencontre un succès immédiat.

S’impose rapidement l’inauguration d’un nouveau point de vente, toujours parisien, à deux claquements de talons du premier, 11 rue de l’Echaudé. Il propose notamment une ligne JD de luxe, comprenant plus de pièces en reptiles et offrant le privilège de commander des sacs en crocodile.
Septembre 2009, Billy, Twee, Lucien, Franky et les autres s’envolent pour Taiwan où ils fêtent l’ouverture d’une boutique à Taipei. Début 2010, ils s’installent aux Etats-Unis, pour rejoindre New-York et posent leur valises au 469-475 Boome Street.

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